La petite histoire du QUÉBEC
Partie 1
Le pont est un axe ferroviaire et routier.
Sa structure est rivetée en acier et se prolonge sur une distance de 3238 pieds par 92 pieds de largeur et son point le plus élevé est de 341 pieds. Chaque envergure en porte en faux ont 584 pieds. C'est le pont de type porte à faux ayant la plus longue portée libre au monde soit 1801 pieds entre ses piliers principaux et la travée centrale à une longueur de 1889 pieds.
Il est la propriété du Canadien National. Il a été désigné lieu historique national du Canada. Après le château Frontenac il est celui encore le plus photographié.
Des 1850 on commence à récupérer un lien entre les deux rives du fleuve. Pendant ce temps, le réseau ferroviaire se développe rapidement sur la rive sud de Québec. Lévis devient une ville prospère avec une économie florissante. Les traversiers sont très sollicités ont y traversent même des wagons.
Avant la seule façon de traverser était le traversier et en hiver c'était sur la glace. En 1890 on commença à récupérer un pont. La construction fut confiée à la Bridge Company de Pennsylvanie et débutera en 1903. Le tout sera confié à l'ingénieur Théodore Cooper avec un salaire de 4 000 par année. Pour lui ce sera un beau défi de fin de carrière, il modifiera le plan pour allonger la portée centrale et devenir ainsi le plus long au monde.
Tout d'abord le pont avait été conçu pour une largeur de 85 pieds avec deux voies ferrées. L'endroit choisi est le point le plus étroit du fleuve entre Québec et Montréal. La profondeur moyenne est de 147 pieds avec une faille à 190 pieds.
La population aurait préféré un pont plus près du centre-ville.
Les travaux débutent par l'installation des caissons pour préparer les assises. Du côté sud il sera d'une profondeur de 85 pieds et celui au nord de 50 pieds. La pression d'air sera de 45 livres pouces carré à l'intérieur. Dès 1904 la structure prend forme mais on remarque des erreurs de calcul ( poids réel – capacité excèdentaire etc ) sur va utiliser 38 000 tonnes d'acier.
Quand le pont fut presque terminer sur remarque plusieurs problèmes structurel, personne ne tint compte de la gravité de la situation, sur échange des télégrammes entre ingénieur de Québec et New York, mais on continue les travaux quand même et on ajoute du métal par sucroit.
Les travaux continuèrent malgré l'arrêt complet des travaux ordonnés par un ingénieur responsable sur place le 27 août 1907. Finalement le dernier télégramme demandant l'arrêt complet mais il arriva trop tard le 29 août.